Covid_19: l’évidence d’une échéance inéluctable, celle de notre propre mort.

Mort surréaliste, photo Ben Goossens

A l’instar de bien des gens de mon âge, je me sentais mal dans cette époque, et  depuis un moment déjà. Il est vrai que nous avions connu ces temps lointains, qui n’étaient pourtant pas bénis, où l’on pouvait rire de tout et de tout un chacun sans qu’un tribunal numérique, médiatique voire juridique voue le farceur aux gémonies.  Pour autant, je m’en contentais.

Mais depuis quelques jours, il en va quand même autrement. Ce virus qui depuis trois mois  assaillait d’autres populations, il est arrivé chez nous. Nous ne savons pas  grand chose de lui, à peine comment s’en garder, et l’on nous dit qu’il ne menace réellement qu’environ 2% d’entre nous. Voilà qui est bel et bon.

Comme tant d’autres sur les « réseaux », j’ai d’abord moqué toutes ces mondiales précautions, arguant chaque fois de la dangerosité bien plus forte de cette mauvaise grippe (contre quoi je suis vaccinée), à quoi ce virus fut comparé. Aujourd’hui, mon avis diffère, car la question que je me pose, vous vous la posez aussi : Et si j’en faisais partie,  de ces 2% ?

Nous voici confrontés à l’un de ces scenarios « catastrophes » qui  font pour certains dont je suis les délices de soirées télé où l’on tremble de peur pour des personnages fictifs en imaginant vaguement ce que nous ferions à leur place. Mais c’est au réel que nous faisons face à présent, comme le soldat dans sa tranchée : la balle qui vient d’en face sera-t-elle pour moi ?

Voilà ce qu’aujourd’hui je ressens, cette proximité d’une échéance que l’on m’annonçait pourtant, mais à 15 ou 20 ans d’ici. Cela change un peu ma vision des choses.

J’ai eu comme la plupart de nous mon lot de joies, de peines, d’échecs et de maigres succès mais je puis dire,  très sincèrement,  que j’ai globalement bien vécu.

J’ajouterai même que finalement, j’aurais aussi quelque plaisir à vivre encore, sachant que sans traitement et sans vaccin, ce virus-là, si j’en suis atteinte, je ne lui survivrai peut-être pas.

Merci d’avance à ceux qui m’ont suivie et accompagnée jusqu’ici, en espérant, quand même, aller plus loin……

 

 

 

Des incongruités de notre système fiscal

taxes A l’instar d’un grand nombre de retraitées qui n’ont travaillé ni très longtemps ni pour très cher, je bénéficie d’une pension presque indécente (5746 € par an), soit moins de 500 € par mois, sachant que le minimum vieillesse est nous dit-on de 833. Mais bon. Ce revenu-là n’est-il au moins pas imposable.

Enfin c’est ce que j’ai compris en lisant le détail de notre déclaration de revenus 2017 sur quoi se base le futur prélèvement fiscal de 2019.

Car je ne suis pas seule au foyer.

Le foyer fiscal, justement, dont le fisc propose aujourd’hui de l’individualiser. Mais il n’individualise qu’un taux, pas les biens et encore moins ce qu’ils « rapportent »..

Ainsi, je possède en propre un bien qui nous servait de résidence secondaire. Je l’ai donc mis en location pour compléter mon petit revenu personnel. Las ! Le Fisc ne l’entend pas ainsi !

A titre individuel, donc, je ne suis pas imposable. Mais mon foyer fiscal l’est bel et bien, et mon bien propre, inclus dans la totalité, est individuellement taxé, lui, à plus de 18 % !

J’aurai donc le « bonheur » dès le mois de janvier, de voir mon maigre revenu (non imposable) amputé, en sus de la ponction globale des ressources de mon foyer, de 18 % du loyer qui constitue la moitié de mon revenu personnel pourtant NON-imposable. Logique, non ?

Je pense ici avec émotion à tous ceux qui se font berner par les Lois Pinel et autres arguments marketing pour « investir » dans l’immobilier et trouver à y « compléter leurs revenus » . Non, les revenus « fonciers » ne sont pas des revenus comme les autres ni traités comme tels.

Ils font partie, comme le carburant, l’énergie et les biens de consommation courante de ces mines d’or où les gouvernements de l’État français puisent sans fin et à nos dépens les ressources dont ils gavent institutions, ministères et comités, trop souvent sans discernement et surtout sans modération.

Au bonheur de l’esprit français

Je m’interroge en ce dimanche « du Patrimoine » sur l’audience qu’a pu recevoir hier soir la diffusion1 de ce petit bijou fantaisie de Jeanne Labrune. Réalisé en 2001, sous la première présidence chiraquienne, « C’est le bouquet »  nous dépeint avec une drôlerie subtile, assortie de cette finesse propre à l’esprit français, ces fameux « premiers de cordée » dont la présidence Macron voudrait nous imposer le modèle.

Les critiques que l’on peut en voir sur le site d’Allo-ciné ne lui donne pourtant qu’une piètre note, entre 2 et 3 (sur 5, donc moyen). Il est vrai que nos cinéastes, qui depuis des lustres se complaisent dans le malheur, nos édiles dans la laideur et notre presse dans le caniveau, ne donnent guère à voir que haine, violence, sexe, jalousie, guerre, exil et misère qui sont apparemment plus « vendeurs »..

Jeanne Labrune nous fait évoluer ici dans les sphères ouatées de la réussite sociale, du style et de l’élégance, mais elle n’en ménage pas non plus les travers ni ceux de ses personnages qui nous réjouissent à chaque instant par la pertinence de leurs dialogues, l’humour des situations et les rebondissements que suscite l’argument fondateur : un bouquet baladeur dans de beaux appartements haussmanniens.

Une bonne soirée devant la télé, et si loin de la misère du monde, cela valait d’être signalé.

1Chaîne Ciné+ Club

Pour en finir avec les alias et autres pseudos.

Anne/Céleste
Ouvrir (ou fermer) un commentaire.. comme une fenêtre

Voilà. J’ai fêté il y a peu (bien tristement d’ailleurs) mon soixante dixième anniversaire. J’avais donné à Céleste Brume quelques années de moins, pour la rendre un plus visible sans doute.

A la fin du siècle dernier, l’arrivée d’internet dans la sphère privée avait ouvert les vannes d’échanges facilités : commenter l’actualité devenait autrement plus commode qu’avec la voie postale dont nous disposions jusque là.

Quand Google à peine créé était encore loin de son apogée, que Facebook ni Twittter n’existaient encore, des groupes se formaient sur différents serveurs dont Yahoo ne fut pas le moindre. C’est là que se créa d’abord celui des « Lecteurs du Figaro » (avec à l’origine la complicité de feu Max Clos qui nous y accueillait à coup d’arobases) . Je fus invitée à les rejoindre pour y défendre nos idées anti-socialistes et préparer les Présidentielles… de 2002.

Je n’imaginais même pas, alors,  prendre un « nom de plume », et c’est sous le mien que des années durant, ici et là, j’ai « commenté » l’actualité politique surtout d’ailleurs dans mes « Annotations limousines ».

C’est seulement vers 2011, pour féliciter un artisan « branché  sur Facebook », que je m’y inscrivis rapidement sous ce nom d’emprunt, le premier qui me vint immédiatement à l’esprit : Céleste Brume naquit ainsi d’un compliment sur l’installation d’une salle de bains…..

Il est vrai que depuis les présidentielles de 2012 et jusqu’aux dernières, Céleste Brume n’a pas chômé. Jusqu’au mois de mai.

Fillon défait, Macron fut porté au nues par les foules : à l’instar de tant de Français, j’en suis encore sidérée.

La voix de Céleste Brume s’est éteinte sur sa victoire non souhaitée.

La mienne ne peut que l’encourager à réussir ce qu’il s’est engagé à mener: le relèvement, espéré, de la France. Pour ceux qui viennent, pour ceux qui suivent.

C’est donc ici mon dernier billet.

Anne A.M.

« ELLE», parangon primé du boboïsme « tendance » et pervers

Attirée par la consécration d’Isabelle Huppert aux Golden Globes pour un thriller supposé remarquable, je viens de voir ce film qui avait déjà fait fureur à Cannes, encensé alors par nos plus grands medias (ce qui aurait pourtant dû m’alerter…)

Présenté comme la réaction « étonnante » d’une femme à l’agression et au viol qu’elle a subis, le réalisateur se complaît en fait à décrire des personnages et un mode de vie qui représentent la synthèse d’une sorte de vision « sociale », celle de l’auteur sans doute, de ce que serait une certaine bourgeoisie infectée dès l’origine par un système de valeurs en quelque sorte « corrupteur », essentiellement basé d’ailleurs sur la religion (catholique).

L’héroïne, comme on l’apprend assez vite, est en fait une personne « reconstruite » comme elle le dit elle-même, dont le père, un bourgeois fervent catholique, est interné pour les crimes en série qu’il a commis plus de vingt ans avant et qui l’ont, elle, impliquée dans son enfance.

Indifférente apparemment à tout, sauf à une sexualité qui semble à tout le moins – et malgré son âge- la dominer, elle mène avec une amie partenaire (dans tous les sens du terme à ce qu’il semble), une entreprise prospère et ô combien moderne de jeux videos où l’horrible le dispute au pervers- ce qui est aujourd’hui particulièrement vendeur -où, dans le secret (très relatif) de son bureau, elle peut se livrer à quelques rapides « coups de cul » échangés avec le compagnon de son associée.

Agressée et violée dès la première scène du film, elle n’en pipe mot à quiconque, avant d’évoquer froidement la chose devant le père de son fils et ses associés dont la réaction (normale) l’indiffère totalement. Elle devient dès lors quasiment obsédée par ce que l’on suppose un désir de vengeance mais qui se substitue assez vite à un jeu sado-masochiste du meilleur aloi.

On notera au passage, en ce temps de Noël, la description grotesque du couple de voisins d’en face, bien plantés là en catholiques chics pratiquants, installant dans leur jardin une crèche géante également grotesque pendant que l’héroïne, les regardant à la jumelle derrière sa fenêtre, se masturbe allègrement.

On devine assez tôt, alors que la scène de viol associée au fantasme de sa réplique vengeresse devient récurrente, que l’auteur n’est autre que le voisin d’en face, ce bon catholique pratiquant – et par conséquent « tourmenté».

On peut ajouter, cette histoire reflétant une certaine vision du monde, que les hommes n’ont ici d’autre rôle que ceux, peu gratifiants de « queue », de traître, d’infidèle, de psychopathe ou de raté. Les femmes, dont l’héroïne elle-même, triomphent de tout et surtout des hommes qu’elles ne visent au fond qu’à utiliser (même la mère, remarquable Judith Magre en vieux « cougar » abusé)

Les moins de 12 ans n’en tireront heureusement aucun profit et,  au-delà, ne pourront se sentir concernés que les membres de cette bulle sociale qualifiée depuis 30 ans de « bourgeois bohèmes », à la fois très ouverts (open minded) nantis et surtout « bien-pensants ».

Voilà bien une histoire, on en est presque sûr, qui trouvera sans aucun doute la reconnaissance de ses pairs aux prochains « Césars »

Le comble de cette cérémonie pourrait bien être, cette année, le rejet de Roman Polanski de sa présidence, pour cause d’agression de mineure (dont la plainte a été depuis longtemps retirée) pour remettre une palme à cette histoire de viol « vengé »  sinon consenti.

Pour ma part, j’aurai été piégée à peu de frais, je suis mûre,  et la VOD est finalement bon marché. Comme l’eût écrit le très regretté  Vialatte « Et c’est ainsi qu’Allah est grand » !!

Brexit et Elections américaines : Arrêt de mort du 4ème Pouvoir ?

4emepouvoirlls étaient tout puissants, ils faisaient la pluie et le beau temps d’une pensée que chez nous on qualifiait d’unique et que les Californiens avaient imposés au monde comme « politiquement correcte ». Les medias, la presse et jusqu’au Festival de Cannes. Depuis près de 40 ans. On les avait nommé le 4ème Pouvoir.

Nos voisins Hongrois, puis Anglais, puis Américains les ont l’un après l’autre renvoyés dans leurs buts. Ces peuples méprisés depuis trop longtemps par des élites privilégiées, éloignées, tant s’en faut, des réalités quotidiennes, ces peuples « pris pour des imbéciles par des idiots » se sont levés en masse pour dire une fois pour toutes, ASSEZ. Cessez de nous imposer ce que nous refusons. Cessez de nous imposer vos mensonges. NOUS choisirons !

J’ignore pour ma part de ce que sera M. Trump à la tête des Etats-Unis, mais je suis convaincue qu’il fera de son mieux pour rendre à l’Amérique une part de son aura perdue et qu’un socialisme inopportun aurait achevé d’enterrer, comme il est en train de tuer notre France.

Entendre à la moindre occasion qu’un vote ou un courant est « populiste » alors qu’il est d’abord et tout simplement « populaire » ne servira plus désormais  qu’à attiser un rejet complet de toute forme de compromission.

Ce que les peuples attendent d’un Chef d’État, ce ne sont plus de vaines promesses et les commentaires assortis de leurs propagandistes, mais qu’il s’engage à respecter les citoyens dans leur ensemble, assure leur sécurité et leur prospérité, sans oublier l’honneur et le prestige de leur pays.

C’est là un programme honorable.

Nous venons de voir ce qui arrive à ceux qui ne cessent de le dénigrer.

Plateaux-télé : l’alliance juteuse de débats propagando-politico-publicitaires

"Edition spéciale"
« Edition spéciale »

Avec de prétendus « débats » et autres émissions « ciblées », nos chaînes de télévision nationales – et souvent privées- nous offrent aujourd’hui, parfois jusqu’à l’outrance, une sorte de synthèse des divers procédés de manipulation. A l’instar de ce «Politburo » qui décidait jadis ailleurs de ce qu’il était bon mais surtout légitime de croire ou de « penser » et finalement d’exprimer, elles s’appliquent à faire respecter des « consignes » dictées en haut lieu, comme le révélait récemment le monde de la presse. Mais pas seulement.

S’il s’agit bien pour les medias de « faire de l’audience », il faut bien reconnaître que c’est davantage pour en tirer profit que pour remplir une « mission de service public », dont on se demande, au vu des programmes proposés comme de rediffusions ad libitum (Zorro for ever), dans quelle trappe elle est passée. L’audience étant, ne l’oublions pas, l’outil majeur de calcul des profits qui seront générés par la vente d’espaces publicitaires. Business is business.

M Sarkozy, qui est mon candidat aux Présidentielles-ce dont je ne fais aucun mystère- est aussi, et je le regrette pour lui, l’objet de la convoitise de tous ces medias qui auront, comme un seul homme, contribué à le faire perdre en 2012 et qui ne voient désormais en lui que le challenger de M. Juppé, comme ils voudraient nous le faire croire.

Nous ne sommes plus, et depuis longtemps, dupes de ces manigances. Encore nous faut-il le prouver, et seul notre vote aux Primaires pourra le faire. Le mien est déjà acquis.

Comment vendre le pire Président au meilleur électeur ?

les-mc3a9dias-veillentIl serait naïf de croire, à un an des présidentielles, que tout est perdu pour M. Hollande, tant s’en faut. M. Hollande n’a qu’une Muse, mais elle est de taille : la Propagande, et il y a puisé toute son inspiration.

Après quatre ans de mensonges, de trucages, d’indécision, de revirements, force est de constater que cet « État d’urgence » qui ne protège apparemment que lui aura été le dernier « coup de génie » de ses « communicants », il suffit en effet, comme on l’a vu, d’une poignée de députés pour le prolonger.

Sachez-bien, chers lecteurs, qu’une bonne « communication » permet à son émetteur de vous vendre à peu près n’importe quoi, si vous êtes SA « cible ». C’est tout l’art de la propagande. Cela s’étudie très bien et mieux qu’ailleurs, sans doute, à HEC. Et dans tous les bons manuels socialo-marxistes. C’est dire si notre homme en est le champion.

Nous devons donc nous attendre à des revirements d’opinion, à un matraquage systématique de toute forme d’opposition (c’est d’ailleurs le cas depuis 10 ans!) mais cela s’étendra à toutes ses formes.

Tous ses « clients »ont été ou seront servis et aucun ne sera oublié. Toutes les chances seront de SON côté.

Et si tout cela ne marchait vraiment pas, on ne peut même exclure un « Etat de siège » qui permettrait, la chienlit étant judicieusement menée à son comble, de reporter les élections. Et à lui de RESTER.

Nous sommes prévenus.

Après l’état d’urgence, l’état de siège ?

AFF-ETAT-DE-SIEGE-NVAu prétexte d’une loi mal préparée puis démantelée et majoritairement dénoncée comme incomplète, inutile voire malfaisante, la chienlit s’est installée dans les grandes villes de France depuis maintenant deux mois, et ce, dans « l’état d’urgence »

Les consignes données aux forces de l’ordre de « ménager » les manifestants ont pourtant, semble-t-il, fait long feu : hier, un lycéen a tout de même été interpellé et inculpé de « tentative d’homicide » sur la personne d’un policier lâchement tabassé.

Face au spectacle d’un cassage quasi systématique de certains centre-ville, dont Rennes n’est qu’un triste exemple, on peut s’interroger sur l’attitude équivoque de notre chef d’Etat, de sa mollesse ou au contraire, plus cyniquement, de sa volonté inavouable d’aggraver la situation.

Connaissant la haine prouvée de M. Hollande pour M. Sarkozy et de tout ce qu’il représente, on est aujourd’hui fondé à se demander si son but ne serait pas de nous faire passer de l’état d’urgence à l’état de siège, aux seules fins d’avoir en main tous les atouts pour éliminer, comme il le souhaite, tout ce qui fait l’objet de sa détestation : M. Sarkozy, mais aussi tout ce qui symbolise la vraie droite française fidèle à son Histoire : éclairée, ouverte, économe et responsable.

L’été, cette année,  nous promet d’être très chaud.

Justice et Délinquance en France : selon que vous votez à gauche ou … pas

M. Sarkozy est depuis longtemps la cible préférée des medias et d’un président élu grâce à leur soutien, mais il est aussi celle d’une Justice dont on n’ose presque plus dire le nom. Car si elle s’acharne sur lui, homme d’Etat toujours sorti indemne de tant d’attaques, elle laisse à loisir courir dans nos banlieues des hordes de délinquants qui nous haïssent au nom de l’Islam et dont les femmes en niqabées sont le plus criant étendard.

Etendard de la Haine
Etendard de la Haine de la France

Avec son « Extension du domaine de la guerre », qui reçoit ces jours-ci les honneurs des medias, le spécialiste Pierre Servent risque fort de rejoindre la cohorte des « protégés » dont Michel Houellebecq, car si ce dernier racontait une fiction, c’est bien à la réalité que le premier nous confronte, une réalité que nous sommes de plus en plus nombreux à dénoncer, mais au sujet de laquelle nous sommes toujours aussi rares à être entendus.

L’insouciance de notre belle Europe et de ses démocraties prospères à accueillir généreusement en leur sein, depuis plus de trente ans, quantité de ressortissants de confession et de culture musulmane totalement inconnues chez eux avant, et sans la moindre contre partie eu égard aux usages locaux ont abouti à ces zones de non-droits où prospèrent aujourd’hui tout aussi généreusement les trafics les plus divers et le terreau de la haine de l’Occident.

Molenbeeck n’est qu’un des épicentres de cette nébuleuse terroriste implantée à présent partout, téléguidée par ce DAESH parfaitement orchestré depuis la Syrie et qui ne vise à terme qu’à instaurer sa suprématie sur nous.

Nous savons à quoi nous devons faire face et il serait temps qu’ici et là les yeux de nos responsables se désillent enfin et suffisamment pour faire valoir leur choix véritable : celui de notre avenir avec nos valeurs occidentales. Ou sans.

Si l’on commençait par bouter hors de chez nous TOUS ces étendards ambulants de la haine que l’Islam n’a JAMAIS prescrit chez nous, l’Europe et les valeurs de l’Occident auraient fait un grand pas.