Peut-on faire confiance aux algorithmes ?

Les sondages sont ce qu’on les fait mais je ne comprends rien aux algorithmes, ces petits programmes qui, je le suppose aussi, peuvent aller chercher précisément ce qu’on leur demande.

En ce qui concerne les Présidentielles, les medias auront largement profité des « audiences Zemmour » avant de le bannir de leur langage même, comme ennemi n°1 de toute démocratie.

J’ai grand peine pour cette homme de droite, dans ce pays de droite où 70% de la population pense la même chose que lui et ne peut l’exprimer sans se faire traiter de salaud.

Tous les sondages le donnent finalement perdant. Et s’ils avaient tout faux, et si c’étaient les algorithmes qui, eux, avaient raison ? (https://qotmii.com/en/our-apps/#boxzilla-657)

Eric Zemmour : l’homme à abattre (suite)

TOUT sera fait pour « descendre » Eric Zemmour. A l’instar de ce qui a été fait pour François Fillon. Les Français se laisseront-ils faire cette fois encore ?

Après l’avoir hissé vers les sommets, ses signatures-débats suscitent désormais la suspicion générée et entretenue par TOUS ses détracteurs, et ils sont nombreux. Y figurent, à la meilleure place, ces associations prétendument humanitaires, financées par nos impôts et/ou des intérêts étrangers, qui ne cessent d’encourager tout ce que M. Zemmour dénonce et que la plupart de ses adversaires dénoncent désormais AUSSI : invasion migratoire illégale, dérive de l’aide sociale, laxisme judiciaire, multiculturalisme forcé, désintégration violente de notre culture et de notre nation.

Avec la complicité de notre service public d’information, nos plus grands media s’acharnent sur la bête qui prétend défendre nos valeurs nationales, notre civilisation, nos moeurs et notre mode de vie. Mais de quel droit ?

Son diagnostic est partagé quasiment par tous ceux qui, à droite de l’échiquier, se portent candidats. Un seul (ou presque) néanmoins le soutient : Eric Ciotti. Et propose quelques solutions radicales. Sera t-il pour autant suivi ?

L’ère imposée par un progressisme porté en étendard par les élites internationales veut imposer à tous un nivellement mondial de valeurs qui n’ont plus pour eux aucun sens : frontière, nation, culture et même genre, qui doivent, tous, être uniformisés. Pourtant, nous n’en sommes pas là, la bête est encore vivante qui veut survivre à sa nature. Mais elle n’est pas loin d’agoniser.

Aujourd’hui, l’Angleterre multiculturelle interdit sons débat à Londres, tout comme la pudibonde Genève l’interdit aussi . On fait à Zemmour le sort que l’on fit longtemps à M. Orban, qui a pourtant été depuis largement réélu, car choisi par son peuple.

Les Français vont-ils une fois encore se laisser voler l’élection présidentielle ? A eux de voir.

Moi, je ne céderai pas. Qu’on ne vienne pas, ensuite, me reprocher de me tourner, si je n’ai plus d’autre choix, vers les pires extrêmes.

L’homme à abattre (par tous ses adversaires)

J’ai eu la chance d’avoir pour camarade de jeunesse Denis Tillinac, disparu brutalement l’an passé. Nous partagions alors, – il y a plus 50 ans- au café La France à Vichy où nous vivions, nos idées qui étaient tout simplement « de droite », lui comme gaulliste inconditionnel, moi comme monarchiste, ce qui n’était guère courant à l’époque pour des gens de notre âge, il faut le dire, soixantehuitards.

Des décennies plus tard, il défendait dans les colonnes du Figaro ou de Valeurs Actuelles les valeurs chrétiennes auxquelles il était tellement attaché, tout en dénonçant avec vigueur cette déliquescence de notre société à laquelle s’attaque aujourd’hui, et de plein fouet un autre éditorialiste-pas-encore-candidat : Eric Zemmour, sur un autre registre, certes, mais avec un même constat.

Candidat, Eric Zemmour y aurait été plus ou moins contraint, à ce qu’il semble, et poussé par l’enthousiasme qu’il a déclenché par tout ce que les Français constatent chaque jour à leur porte : cette destruction à l’oeuvre de tout ce à quoi nous sommes attachés : notre libre expression, notre sécurité, la Justice, l’equité de nos institutions et la prospérité de notre pays et pis encore notre art de vivre.

Cette homme-là est aujourd’hui poussé à bout par tous ceux qui le désirent autant que par ceux qui le haïssent, puisque « la haine » a désormais supplanté la simple « détestation ». Le voici jour après jour jeté dans l’arène, où les lions, même décharnés, sont prêts à le dévorer.

De grâce, M. Zemmour, prenez du repos, cessez quelques temps votre périple, reposez-vous et refusez toutes ces entrevues où ne vous seront lancées que des piques, des filets et puis des lances bien destinés, cette fois, à vous abattre.

Soyez Certain, M. Zemmour, que je vous soutiens.

Malheur au pays dont le roi est un enfant

C’est aujourd’hui ce que m’inspire l’enquête exhaustive réalisée par Terra Nova, le « think tank » des Marcheurs qui soutiennent le Président.

On y apprend ce qu’ils sont :

marcheursterranova
Si l’on ajoute au tableau qu’ils sont essentiellement urbains, cela nous confirme à quel point ils sont peu représentatifs de la population de la France que leur Président élu par défaut a  pour mission de diriger.

On comprend bien que dans les 13 % de « +65 ans » se trouvent essentiellement son épouse, quelques ministres (dans le premier gouvernement)  et les quelques Fillonistes et socialistes déçus qui ont préféré voter Macron que Le Pen. Ils n’ont sans doute pas pensé un seul instant au mauvais sort qui serait fait à leurs avoirs, à moins qu’ils soient (leurs avoirs) très suffisants pour l’ignorer.

On y apprend que ce qui préoccupe aujourd’hui une grande majorité de Français, hors du chômage et du coût de la vie, c’est quand même l’insécurité, le terrorisme, l’immigration, mais cela ne les préoccupe guère eux qui n’ont pas à les subir, comme ne les préoccupe guère non plus le sort des ruraux, qu’ils voudraient priver de voiture,  mais pis encore de celui  des vieux, où qu’ils soient.

Car les vieux, ces marcheurs n’en veulent plus. Après les avoir ponctionnés au-delà de toute limite, ils ne pensent désormais qu’à mieux les éliminer. Un de leur (vieux) mentor, Jacques Attali si j’ai bonne mémoire, ne prétend-t-il pas que

attalivieux

C’est bien ce que leur inspire l’état de la plupart de nos Ehpad en manque de personnel comme la situation de la plupart de nos services hospitaliers.

https://twitter.com/infirmierSNPI/status/1047374490903203845

Je souhaite bien du plaisir à tous ces jeunes gens qui marchent allègrement vers cet avenir si peu radieux qui sera le leur dans moins de trente ans.  Ce ne sera plus le mien depuis longtemps.

Rôle des costumes et costume du rôle (de Président)

Je ne m’en suis jamais cachée, je n’ai jamais voté pour M. Macron. Il m’a volé comme à tant d’autres une élection attendue 5 ans. Mais, comme tant d’autres pourtant, j’avais atténué ma rancoeur à l’aune de cette volonté d’abord affichée de rendre à notre République un peu de son aura perdue. Il y avait mis toutes les formes, dans l’apparence, dans l’allure, dans le discours. Las, ce fut bref.

Passant sans vergogne d’un extrême à l’autre ou, devrais-je dire, en même temps, il a d’abord lancé de concert un train de réformes nécessaires et assurément attendues, mais sans se soucier jamais du VRAI problème de notre pays, transformé par 40 ans de socialisme en cette Hydre administrative invasive et coûteuse dont chaque tête ne pense qu’à ruiner l’autre et qu’aucun Hercule n’est semble-t-il prêt à trancher. Sans se soucier JAMAIS d’épargner l’argent des Français.

Notre presse servile le situant d’emblée sur les hauteurs jupitériennes de ce pouvoir tant convoité, il s’ y est arrogé presque tous les rôles, intervenant à l’envi là où ses Ministres étaient dans le leur. Et ce, dans le mépris le plus total de ceux qui, finalement, le lui avaient confié. Cherchant désespérément cet argent que notre Administration se complaît à gaspiller, il a sacrifié sans vergogne la majorité des retraités, toutes les valeurs « immobiles » pour toujours glaner PLUS d’argent.

macronmusiqueCe mépris qu’on lui a largement reproché, comme en attestent les enquêtes, il tente à présent de le corriger, en s’engouffrant dans cet autre rôle qu’il ne maîtrise pas tout à fait, celui de « communiquant ». Mais après avoir curieusement fêté la « musique » dans un tam tam techno peu élyséen puis quasiment insulté un chômeur qui n’en pouvait mais, le voici pris en main et largement « selfisé » par une population antillaise assez marginale en somme, sans rapport avec sa fonction.macronantilles

C’était oublier bien vite l’image qu’il donne de la France, qui est aussi la mienne, donc la vôtre. Et cette image là non seulement nous déçoit, pour certains nous dégoûte mais, pire encore, nous alarme bien au-delà de la honte qu’elle nous donne.

Hier son fidèle Ministre de l’Intérieur lui présentait sa démission, (pour ainsi dire son désaveu). qu’il s’est permis de lui refuser. Etait-il vraiment dans son rôle ?

Jusqu’où compte-il aller, ce fringant jeune homme à qui des Français, abattus par un quinquennat ridicule, ont été contraints de donner un Pouvoir qu’assurément il ne maîtrise pas et dont il n’a pas encore mesuré l’ampleur ? Et dans quel abîme est-il,  en même temps,  capable de nous précipiter ? Je ne suis apparemment pas la seule à me le demander.

 

Mourir est inéluctable. Etre « euthanasié » de plein droit ne doit pas l’être.

Une chance que l’euthanasie (la bonne mort) ne soit pas, dans l’immédiat du moins, en passe de devenir légale en France.  Il n’y aurait rien de plus terrible, à terme, pour notre humanité.

Mourir dans la dignité, comme le souhaite l’Association du même nom, est la préoccupation de chacun. Ce mouvement fut à l’origine, et de ce point de vue, une tentative pour résoudre la pesante question de notre longévité, des accidents de la vie, et surtout de tous les maux qui l’accompagnent ; mais cela devient aussi, fort malheureusement, un encouragement au déni du sens inexorable de la vie, qui est d’abord de VIVRE, ce à quoi s’emploient, souvent fort difficilement, la plupart des êtres humains qui luttent (*) pour elle.

Abréger la souffrance, nous dit-on. Mais il semble pourtant que la science, la médecine et notre législation elle-même en donnent le moyen.

wikicommons
source : wikicommons

Les cas récents et surmédiatisés de malades incurables réclamant un suicide assisté, les procès liés, depuis des décennies déjà, à ces affaires toujours tragiques qui, les uns et les autres, en appelent à nos émotions rendent aujourd’hui le débat malsain. Cette dictature de l’émotion , pour emprunter à Patrick Verspieren, s.j. et à son excellent article (Etudes, sept 2008, pp.149-152) ne mène plus qu’à une regression complète de tout principe d’humanité, (Jean-Claude Guillebaud), qui repose sur les principes les plus élémentaires de la Morale.

S’il est impensable pour un catholique (mais pour d’autres croyants aussi) d’imaginer donner la mort, fût-elle douce, les libres-penseurs peuvent néanmoins concevoir les dérives qu’une telle législation pourrait induire : la suppression progressive (en douceur) de vies perçues comme pesantes, voire inutiles, dans le champ desquelles s’agglutineraient les trop vieux, les trop malades, les trop déviants, les trop… différents. Cela rappelle des souvenirs plus que fâcheux.….

Dino Buzzati donnait déjà un  aperçu éminemment caustique du sort des premiers dans sa « Chasse aux vieux » (Le K et autres nouvelles, Laffont, 1967) ; caustique, donc, et d’autant plus réjouissant que la morale y reprend ses droits : le jour où le chasseur, devenu vieux, est chassé à son tour. Et cela, c’est inéluctable !

* le terme de recherche « lutte pour la vie » génére des millions d’occurrences francophones sur Google !

langues régionales : re-Constitution de Babel ?

Il faut croire que l’Esprit de la Pentecôte n’a pas soufflé sur nos Députés : voilà en effet qu’ils prétendent inscrire nos langues régionales dans notre Constitution.

Je trouve pour ma part cela plutôt cocasse : la Constitution de 1789 avait instauré le français langue nationale, ce qui présentait au moins l’avantage d’unifier quelque peu nos provinces autour d’un langage commun, qui n’était pas alors, et loin de là, celui de tous les français.

Sans doute ont-ils la mémoire courte, nos députés, car Il y a près de quarante déjà que notre vieil occitan et autres patois celtiques ont été remis au goût du jour, qu’ils sont enseignés comme jamais ils ne le furent et que certains s’évertuent même à les parler encore (au grand dam des gens de passages qui, eux, ne comprennent plus rien !)

Que les langues vernaculaires fassent partie de notre patrimoine, voilà qui est incontestable. Qu’elles figurent dans la Constitution les place sur un autre registre, qui peut tout simplement prêter à confusion.

Car ce ne sont là, à de rares exceptions, que langues mortes pour la plupart des gens. Leur oralité ne survit généralement qu’au travers de quelques formules utilisées localement et qui s’inscrivent tout naturellement dans une identité régionale que nul n’a jamais contestée, au même titre que les paysages, l’habitat, les cultures, les coutumes. En témoigne le succès des Cht’is.

N’y a-t-il pas, déjà, une Charte européenne, qui vise à protéger (de l’uniformité ?) nos patrimoines respectifs ?

Mais qu’on se rassure, cette Constitution qu’après tout si peu d’entre nous connaissent, précise bien (Titre premier, article 2) que : La langue de la République est le français.

Chacun est libre, chez nous, de parler chtimi, gaélique ou limousi : l’essentiel n’est-il pas après tout de s’exprimer et de se faire entendre ?

Ah, l’Esprit de la Pentecôte ! Si loin de Babel…….

Plainte pour harcèlement……. commercial ?

Il n’est déjà pas facile de lutter contre le matraquage commercial, les promotions, remises, primes de fidélité et autres bonus « offerts » en permanence à nos boîtes aux lettres, ondes radios télé et maintenant à nos écrans d’ordinateur, alors que dire du harcèlement ciblé des organismes de crédit !

Impossible (j’ai essayé) de ne plus recevoir pratiquement chaque semaine, une offre de crédit, (que l’on ne prête qu’à moi, bien sûr !), 1000 euros par-ci, 2000 euros par-là, pour succomber sans autre effort à toutes mes envies !

Le problème, c’est que je n’achète a priori que ce dont j’ai besoin. Alain Rémond * (que je ne résiste pas à citer tant je lui dois de plaisir chaque matin à la lecture de son petit billet de dernière page ) doit faire de même, lui a qui une vision si particulière de ces Choses dont Georges Perec dénonça si bien l’abus et la perversité d’usage dans son premier et percutant roman (en 1965).

Il y a ceci de commun au moins entre les gens d’esprit et les gens de foi : ils ne sont pas obnubilés par la Matière.

Je n’en dirais évidemment pas autant de cette curieuse catégorie des Bourgeois Bohêmes dans laquelle je ne reconnais qu’un mix carrément post-soixante-huitard, plus préoccupé de confort moral et en général de confort tout court que de transcendance.

Pour en revenir à l’essentiel, c’est-à-dire au besoin véritable, cela ne fait d’abord pas grand chose ; mais une fois règlé l’indispensable puis le nécessaire, devenus avec la modernité des temps de plus en plus « conséquents », puis en ajoutant un zeste de superflu, ces désirs qui nous taraudent, cela représente tout de même une belle obole à l’Economie, qui ne fonctionne, nous explique-t-on, que par la consommation.

Mais enfin, je ne peux m’empêcher de penser, chaque fois que je déchire un de ces courriers insistants, à tous ceux qui les reçoivent en même temps que moi, qui n’ont ni le même âge, ni les mêmes besoins ni, surtout, les mêmes envies. Ces envies que le marketing s’acharne, pour un coût considérable, à nous créer. Et auxquelles tant de gens ne parviennent pas à résister.

Aujourd’hui, on peut porter plainte contre le harcèlement sexuel, parce que le législateur le considère comme une atteinte à l’intégrité de la personne.

Quand on mesure l’ampleur des dégâts causés par l’abus de crédit aux Etats-Unis dans l’affaire des subprimes et, sans aller si loin, chez nous où tant de ménages sont surendettés,** on se demande s’il ne serait pas opportun de considérer, là aussi, que ces offres alléchantes et perfides ne constituent pas elles aussi une atteinte à l’intégrité de ceux qui les reçoivent.

Et si, à la fin, on portait plainte ?

* lien vers La Croix (cliquez !)

** lien vers UNAF

Ces catastrophes que la Terre nous impose comme leçons d’humilité

Heureux les temps plus anciens où les nouvelles du monde ne nous parvenaient qu’avec lenteur, souvent après analyse, presque toujours avec mesure. Mais la mesure, aujourd’hui, est celle d’un monde immédiat et universel où chaque évènement peut-être vécu simultanément par tous ceux qui accèdent à l’information, soit aujourd’hui déjà près d’un milliard d’internautes, et près du quart de la population mondiale dans les trois ans à venir. La moitié de la population française est aujourd’hui connectée.*

La première décade de notre mois de mai offre à elle seule un panel de désastres assez terrifiant : cyclone meurtrier en Birmanie, tornades ravageuses aux Etats-Unis, puis un séisme majeur en Chine, dont les ondes continueront un certain temps à se propager avec autant de ruines et de détresses induites.

La liste ne sera jamais exhaustive de tous les malheurs qui nous assaillent, nous-mêmes et tous nos semblables, contre lesquels nous sommes le plus souvent complètement impuissants et dont la connaissance immédiate et redondante risque davantage, à terme, de nous incliner au repli plus qu’à la compassion à laquelle l’Espérance nous invite et que la Charité nous impose.

Il est probable que de tous temps et en tous lieux, la Terre a produit tout autant de ces éclats que nous avons très longtemps ignorés. Aujourd’hui, il suffit de se connecter à un site spécialisé (voir lien ci-contre) pour suivre pas à pas ces évolutions, qui sont considérables et terrifiantes, et dont les plus catastrophiques sont un tropisme juteux pour les medias, toujours avides de fournir à leurs spectateurs ce sang et ces larmes qu’apparemment ils attendent et qui les fascinent, tant il est vrai que la violence (et sa représentation) sont consubstantielles à notre nature** pour assumer notre combat vital et assouvir nos vanités.

Bien loin hélas de l’humilité que devrait nous imposer la conscience de notre fragilité. Celle de toutes ces vies perdues ou brisées, celles des autres, mais tout aussi fatalement les nôtres dont aucune n’échappe, quelque jour, à un malheur.

* étude Nielsen-MediaRatings pour JournalduNet (2007)

**voir Werner Balzer, La sensorialité et la violence in Revue française de psychanalyse, 70,2006,1