Eric Zemmour : l’homme à abattre (suite)

TOUT sera fait pour « descendre » Eric Zemmour. A l’instar de ce qui a été fait pour François Fillon. Les Français se laisseront-ils faire cette fois encore ?

Après l’avoir hissé vers les sommets, ses signatures-débats suscitent désormais la suspicion générée et entretenue par TOUS ses détracteurs, et ils sont nombreux. Y figurent, à la meilleure place, ces associations prétendument humanitaires, financées par nos impôts et/ou des intérêts étrangers, qui ne cessent d’encourager tout ce que M. Zemmour dénonce et que la plupart de ses adversaires dénoncent désormais AUSSI : invasion migratoire illégale, dérive de l’aide sociale, laxisme judiciaire, multiculturalisme forcé, désintégration violente de notre culture et de notre nation.

Avec la complicité de notre service public d’information, nos plus grands media s’acharnent sur la bête qui prétend défendre nos valeurs nationales, notre civilisation, nos moeurs et notre mode de vie. Mais de quel droit ?

Son diagnostic est partagé quasiment par tous ceux qui, à droite de l’échiquier, se portent candidats. Un seul (ou presque) néanmoins le soutient : Eric Ciotti. Et propose quelques solutions radicales. Sera t-il pour autant suivi ?

L’ère imposée par un progressisme porté en étendard par les élites internationales veut imposer à tous un nivellement mondial de valeurs qui n’ont plus pour eux aucun sens : frontière, nation, culture et même genre, qui doivent, tous, être uniformisés. Pourtant, nous n’en sommes pas là, la bête est encore vivante qui veut survivre à sa nature. Mais elle n’est pas loin d’agoniser.

Aujourd’hui, l’Angleterre multiculturelle interdit sons débat à Londres, tout comme la pudibonde Genève l’interdit aussi . On fait à Zemmour le sort que l’on fit longtemps à M. Orban, qui a pourtant été depuis largement réélu, car choisi par son peuple.

Les Français vont-ils une fois encore se laisser voler l’élection présidentielle ? A eux de voir.

Moi, je ne céderai pas. Qu’on ne vienne pas, ensuite, me reprocher de me tourner, si je n’ai plus d’autre choix, vers les pires extrêmes.

Zemmour, toujours

destinfrançaisCe « Destin français » que je viens justement d’acheter, je n’en parlerai donc pas encore ici. Je le lirai sans doute, quand mon poignet me permettra de le tenir en main : c’est un pavé. Et son auteur en est semble-t-il un aussi dans la mare de ceux qui ne l’aiment pas, et ils sont nombreux, surtout sur les ondes radio. C’est même surtout pour cela que je l’ai acheté. Parce que Zemmour ose dire ce que les bien-pensants refusent : des vérités. Et qu’il est apparemment devenu interdit de plateaux.

J’aurais voulu parler ici du bon moment que je viens de passer avec le petit opus de Samuel Benchetrit « Reviens », plein d’humour, mais surtout très drôle en fait, et plein de tendresse aussi. Puis j’ai découvert (sur le net) qui était cet auteur pour moi inconnu (j’avais chargé son livre sur un site d’e-pub gratuits). J’ai tout de suite compris qu’il devait sans doute détester Zemmour (il a soutenu Ségolène)  ; encore que. Quand on imagine écrire sur Pline le Jeune…..Et puis, apparemment, il est très connu, M. Benchetrit. Même si çà l’ennuie. Il n’a donc pas besoin de mon pauvre petit soutien. D’autres s’en chargent très bien.

Car c’est bien de soutien qu’il s’agit, là, ce matin : celui de notre liberté d’expression qui , à l’instar de notre « Justice » ne s’opère que d’une seul côté, celui des « bons » (progressistes de tout poil) qu’on oppose désormais systématiquement aux « méchants  (infréquentables conservateurs).

Zemmour pousse parfois le bouchon un peu loin. Sur les prénoms, par exemple. Avant d’en affubler leur enfant, les parents devraient certainement penser d’abord à ce qu’il véhicule. Mais comme tout est permis en la matière, porter celui d’un parent, d’une voiture ou d’un fruit ne devrait plus déranger personne puisque chez nous, de toute façon, les saints sont bannis. Pour ce qui est de l’intégration, c’est une toute autre histoire. Ceci dit, on trouve toujours des Sophie, des Mathieu et même des Jean. Ou du moins on en trouve encore. Mais peut-être plus pour très  longtemps.

Pour en finir avec les alias et autres pseudos.

Anne/Céleste
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Voilà. J’ai fêté il y a peu (bien tristement d’ailleurs) mon soixante dixième anniversaire. J’avais donné à Céleste Brume quelques années de moins, pour la rendre un plus visible sans doute.

A la fin du siècle dernier, l’arrivée d’internet dans la sphère privée avait ouvert les vannes d’échanges facilités : commenter l’actualité devenait autrement plus commode qu’avec la voie postale dont nous disposions jusque là.

Quand Google à peine créé était encore loin de son apogée, que Facebook ni Twittter n’existaient encore, des groupes se formaient sur différents serveurs dont Yahoo ne fut pas le moindre. C’est là que se créa d’abord celui des « Lecteurs du Figaro » (avec à l’origine la complicité de feu Max Clos qui nous y accueillait à coup d’arobases) . Je fus invitée à les rejoindre pour y défendre nos idées anti-socialistes et préparer les Présidentielles… de 2002.

Je n’imaginais même pas, alors,  prendre un « nom de plume », et c’est sous le mien que des années durant, ici et là, j’ai « commenté » l’actualité politique surtout d’ailleurs dans mes « Annotations limousines ».

C’est seulement vers 2011, pour féliciter un artisan « branché  sur Facebook », que je m’y inscrivis rapidement sous ce nom d’emprunt, le premier qui me vint immédiatement à l’esprit : Céleste Brume naquit ainsi d’un compliment sur l’installation d’une salle de bains…..

Il est vrai que depuis les présidentielles de 2012 et jusqu’aux dernières, Céleste Brume n’a pas chômé. Jusqu’au mois de mai.

Fillon défait, Macron fut porté au nues par les foules : à l’instar de tant de Français, j’en suis encore sidérée.

La voix de Céleste Brume s’est éteinte sur sa victoire non souhaitée.

La mienne ne peut que l’encourager à réussir ce qu’il s’est engagé à mener: le relèvement, espéré, de la France. Pour ceux qui viennent, pour ceux qui suivent.

C’est donc ici mon dernier billet.

Anne A.M.

Sidération

Je ne résiste pas à rediffuser ici les propos de Maxime Tandonnet qui correspondent si bien à ce que j’aurais voulu écrire moi-même et qui est si bien dit. Je partage cette même honte de ces Présidentielles truquées de bout en bout dont j’attends avec impatience qu’elles s’achèvent enfin.

Maxime Tandonnet - Mon blog personnel

Sincèrement, je ne trouve plus les mots pour décrire la honte que m’inspire le spectacle de ces élections présidentielles: trahisons, chantage, insultes, hystérie, manipulations, mensonges, calculs politiciens, bêtise. Jamais dans l’histoire, la France d’en haut, la France visible, médiatisée, n’avait atteint un tel niveau de déchéance. Aucun pays, depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, ne s’est comporté aussi honteusement que la France d’aujourd’hui, j’entends la France apparente. Honte vis-à-vis de nos 27 partenaires européens, honte vis-à-vis du reste de la planète, de nos amis Africains, asiatiques, américains. Mais attention, les responsables de cette honte sont au nombre de 5000 à 10000, dans les médias et les plus hautes sphères des partis et des institutions de la France dite « d’en haut ». Je ne parle pas des Français de tous les jours, de vous et moi, qui sommes absolument révulsés par le spectacle en cours. Je le sais car je ne…

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Macron décodé par un gamin bien plus fort que Fillon. Faites circuler, un sacré travail. Cliquez sur le lien de couleur fourni à l'intérieur.

Je ne résiste pas à la rediffusion de cet article absolument passionnant qui démonte pièce par pièce ce qu’il convient tout de même d’appeler « l’Illusion Macron »…..

brunobertez

https://www.youtube.com/channel/UCynFUJ4zUVuh3GX7bABTjGQ

N’hésitez pas à accorder un « tip » à l’auteur, même si politiquement vous ne partagez pas son hostilité à l’égard de Macron. C’est un excellent travail. Imaginez vous la collecte d’informations que cela suppose? Imaginez vous l’assimilation que cela implique? En passant, à ceux qui critiquent les quelques coquilles ou fautes d’orthographe, je rappellerai : »quand on lui montre le ciel, l’imbécile regarde le doigt ». J’apprécie la bonne orthographe, mais je conçois que d’autres s’en préoccupent moins et développent d’autres compétences.

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Chronique d'une affaire d'Etat (dont je ne suis pas l'auteur)

Ce texte m’a été adressé par différents canaux et je suppose que notre Démocratie aurait beaucoup à gagner à ce qu’il soit connu du plus grand nombre, même si je n’ai moi-même qu’une pauvre audience…..et compte tenu des opinions que je défends ici.

 

« Acte 1 : 19 décembre 2013, Jean-Louis Nadal, ancien conseiller au cabinet de Robert Badinter, ex-inspecteur général des services judiciaires dous Elisabeth Guigou, qui a requis l’ouverture d’une enquête à l’encontre de Christine Lagarde devant la Cour de Justice de la République, qui en 2012 soutient le candidat François Hollande, est nommé par ce même François Hollande à la tête de la haute Autorité pour la transparence de la Vie Publique. 

Acte 2 : le 1er février 2014 – Création du parquet national financier par Christiane Taubira

Acte 3 : Eliane Houlette est proposée par Christiane Taubira le 14 janvier 2014 comme procureur du parquet national financier

Acte 4 : le 31 janvier 2014 Ariane Amson est nommée substitut du procureur du PNF

Acte 5 : 04 juillet 2014, Jean Michel Hayat, membre du syndicat de la magistrature, conseiller au cabinet de Ségolène Royal de 1997 à 2000, … et également mari d’Adeline Hazan, présidente du syndicat de la magistrature de 1986 à 1989, ex-eurodéputée et ancienne maire PS de Reims, est nommé président du TGI de Paris
Acte 6 : 09 septembre 2014, Jean Michel Hayat crée la 32e chambre correctionnelle dédiée aux affaires traitées par le PNF. 

Acte 7 : 01 septembre 2015, Peimane Ghaleh-Marzban, un très proche de François Hollande est nommé président de la 32ème chambre correctionnelle du TGI de Paris.

Acte 8 : 10 septembre 2015, Jean Louis Nadal est chargé de signaler les cas suspects à la 32ème chambre du TGI de Paris.

Acte 9 : 13 juin 2016, Jean-Pierre Jouyet embauche comme conseillère pour la justice à l’Élysée Ariane Amson qui quitte le PNF. Elle est la compagne de Pierre Heilbronn, qui lui devient directeur adjoint de cabinet de Michel Sapin.

Acte 10 : novembre 2016, un dossier est constitué à l’Elysée sur la base des fiches de salaire et déclarations de revenus des époux Fillon transmis par Pierre Heilbronn et suivi par Boris Vallaud, le mari de Najat Vallaud Belkacem.

Acte 11 : 15 décembre 2016, Thomas Cazenave, ex Directeur de Cabinet d’Emmanuel Macron est nommé Secrétaire Général Adjoint de l’Elysée. Il remet le dossier à Jouyet.

Acte 12 : François Hollande transmet le dossier à Gaspard Gantzer, de la même promotion Senghor à l’ENA qu’Emmanuel Macron, en lui recommandant d’en faire « bon usage » 

Acte 13 : 09 janvier 2016, le dossier est transmis simultanément par Gaspard Gantzer à Michel Gaillard, directeur de la Rédaction du Canard Enchaîné et à Eliane Houlette par Ariane Amson.

Acte 14 : 25 janvier 2017, soit le même jour où « l’enquête du Canard enchainé » est publiée, une enquête préliminaire est ouverte par le parquet national financier pour des chefs de détournement de fonds publics, abus de biens sociaux et recel de ces délits.

Acte 15 : Le 5 février 2017, les copies des PV d’audition des époux Fillon sont récupérés auprès du PNF par Ariane Amson et transmis par Gantzer aux journalistes du Monde, Davet et Lhomme.

Acte 16 : 15 février 2017, Jean-Louis Nadal transmet au PNF un signalement concernant un soupçon de déclaration incomplète de François Fillon à la HATVP.

Acte 16 : 24 février le PNF ouvre une information judiciaire devant le risque de prescription encouru par le vote de la loi du 16 février 2017.

Acte 17 : 25 février 2017, Jean Michel Hayat, président du TGI désigne Serge Tournaire, le magistrat qui a mis en examen Nicolas Sarkozy, malgré l’avis contraire de van Ruynbeck dans l’affaire Bygmalion, comme premier juge d’instruction.

Acte 18 : 28 février 2017, le juge Tournaire signifie à Fillon une convocation pour le 15 mars 2017 en vue d’audition, c’est-à-dire vraisemblablement pour un placement en garde à vue et une mise en examen.

Pourquoi M. Fillon sera élu président de la République

là non plus, je ne résiste pas à rebloguer : Il est MON CANDIDAT !

Maxime Tandonnet - Mon blog personnel

xvm6e05672a-afe0-11e6-8924-aaf6bf1e52eaParadoxalement, les événements de ces derniers jours me confortent dans l’idée que F Fillon sera élu président de la République en mai prochain. Sept raisons me font dire qu’il est aujourd’hui le mieux placé des grands candidats pour gagner la présidentielle.

  1. Le lynchage médiatique qu’il subit depuis deux semaines a pris une tournure caricaturale. Presse, télévisions, radios, sites Internet, réseaux sociaux, dans une sorte de délire mimétique et d’acharnement, se livrent à une chasse à l’homme rituelle qui va provoquer une réaction naturelle de victimisation du paria et un retournement de l’opinion en sa faveur, en tant que gibier de potence d’un système politico-médiatique dont les Français ne veulent plus.
  2. Malgré cette curée d’une violence sans précédent lors d’une campagne, il a tenu bon dans la tempête. Au plus fort de cette tentative d’assassinat politique, son niveau dans les sondages n’est pas descendu à moins de 18%, signe d’un socle de popularité solide.
  3. L’opposition républicaine a…

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L'assassinat politique de François FILLON

Je ne résiste pas à emprunter cette expression de l’évidente vérité que la bien-pensance de notre presse renâcle à diffuser…

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Les masques tombent, l’affaire François Fillon se révèle être un modèle d’assassinat politique.

Ce matin, sur France Info, un journaliste s’indignait de la réaction de ceux qui critiquent la charge médiatique sur François Fillon en vociférant (enfin presque) « mais on fait notre travail de journaliste ! ». Cette proclamation « On fait notre travail de journaliste » m’a laissé rêveur quand on songe à ce que nous dit, en creux, cette affaire Fillon sur le mode de fonctionnement de notre démocratie.

Pour décrypter et comprendre ce que cache l’affaire Fillon, il convient évidemment de s’abstraire du tumulte médiatique pour poser à plat les données de cette affaire, en apprécier la portée, voir les mécanismes de pouvoir en jeu et essayer d’identifier qui sera bénéficiaire de tout ce brouhaha médiatique.

La mise à plat de l’affaire Fillon

Que se passe-t-il dans la maison Fillon ? La révélation, au moment où François Fillon est…

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« ELLE», parangon primé du boboïsme « tendance » et pervers

Attirée par la consécration d’Isabelle Huppert aux Golden Globes pour un thriller supposé remarquable, je viens de voir ce film qui avait déjà fait fureur à Cannes, encensé alors par nos plus grands medias (ce qui aurait pourtant dû m’alerter…)

Présenté comme la réaction « étonnante » d’une femme à l’agression et au viol qu’elle a subis, le réalisateur se complaît en fait à décrire des personnages et un mode de vie qui représentent la synthèse d’une sorte de vision « sociale », celle de l’auteur sans doute, de ce que serait une certaine bourgeoisie infectée dès l’origine par un système de valeurs en quelque sorte « corrupteur », essentiellement basé d’ailleurs sur la religion (catholique).

L’héroïne, comme on l’apprend assez vite, est en fait une personne « reconstruite » comme elle le dit elle-même, dont le père, un bourgeois fervent catholique, est interné pour les crimes en série qu’il a commis plus de vingt ans avant et qui l’ont, elle, impliquée dans son enfance.

Indifférente apparemment à tout, sauf à une sexualité qui semble à tout le moins – et malgré son âge- la dominer, elle mène avec une amie partenaire (dans tous les sens du terme à ce qu’il semble), une entreprise prospère et ô combien moderne de jeux videos où l’horrible le dispute au pervers- ce qui est aujourd’hui particulièrement vendeur -où, dans le secret (très relatif) de son bureau, elle peut se livrer à quelques rapides « coups de cul » échangés avec le compagnon de son associée.

Agressée et violée dès la première scène du film, elle n’en pipe mot à quiconque, avant d’évoquer froidement la chose devant le père de son fils et ses associés dont la réaction (normale) l’indiffère totalement. Elle devient dès lors quasiment obsédée par ce que l’on suppose un désir de vengeance mais qui se substitue assez vite à un jeu sado-masochiste du meilleur aloi.

On notera au passage, en ce temps de Noël, la description grotesque du couple de voisins d’en face, bien plantés là en catholiques chics pratiquants, installant dans leur jardin une crèche géante également grotesque pendant que l’héroïne, les regardant à la jumelle derrière sa fenêtre, se masturbe allègrement.

On devine assez tôt, alors que la scène de viol associée au fantasme de sa réplique vengeresse devient récurrente, que l’auteur n’est autre que le voisin d’en face, ce bon catholique pratiquant – et par conséquent « tourmenté».

On peut ajouter, cette histoire reflétant une certaine vision du monde, que les hommes n’ont ici d’autre rôle que ceux, peu gratifiants de « queue », de traître, d’infidèle, de psychopathe ou de raté. Les femmes, dont l’héroïne elle-même, triomphent de tout et surtout des hommes qu’elles ne visent au fond qu’à utiliser (même la mère, remarquable Judith Magre en vieux « cougar » abusé)

Les moins de 12 ans n’en tireront heureusement aucun profit et,  au-delà, ne pourront se sentir concernés que les membres de cette bulle sociale qualifiée depuis 30 ans de « bourgeois bohèmes », à la fois très ouverts (open minded) nantis et surtout « bien-pensants ».

Voilà bien une histoire, on en est presque sûr, qui trouvera sans aucun doute la reconnaissance de ses pairs aux prochains « Césars »

Le comble de cette cérémonie pourrait bien être, cette année, le rejet de Roman Polanski de sa présidence, pour cause d’agression de mineure (dont la plainte a été depuis longtemps retirée) pour remettre une palme à cette histoire de viol « vengé »  sinon consenti.

Pour ma part, j’aurai été piégée à peu de frais, je suis mûre,  et la VOD est finalement bon marché. Comme l’eût écrit le très regretté  Vialatte « Et c’est ainsi qu’Allah est grand » !!

La France a besoin de « sérieux » : Macron, c’est NON !

francois-fillon-2017Après avoir de longue date perdu son panache pour devenir pour nos voisins et nous-mêmes source de dérision, la France a maintenant besoin de sérieux. Elle n’a dans cette optique que peu de prétendants et ce n’est pas le plus en vogue aujourd’hui, porté par ses thuriféraires médiatiques, qui lui rendra sa dignité et son aloi.

Depuis près de 5 ans, la France est abusée par le mensonge d’un parti socialiste qui l’a mise en coupe serrée, comblant de bienfaits ses seuls électeurs au mépris de tous les autres, sans égard pour sa culture, ses traditions, ses coutumes qui sont chaque jour bafouées au nom d’un « vivre ensemble » qui ne signifie désormais plus RIEN. Une France « dirigée » par un chef de parti qui aura mis quatre ans à admettre qu’il n’était plus « attendu », et pour cause et qui, tel le traître biblique « s’en lave les mains ». Une France minée par un chômage persistant, des dépenses somptuaires mais surtout inutiles, une fuite de cerveaux et de leurs capitaux. Une France écorchée, fracturée, écoeurée du gâchis que lui ont fait subir les idées fausses, un sectarisme exacerbé, les promesses incongrues et intenables et, le PIRE sans doute, une ruineuse et écrasante bureaucratie.

Le prétendant « en vogue » auquel « on » se rallie de tous côtés à ce qu’il semble, n’est pourtant, qu’on se le dise, que le nouveau fer de lance de ce parti, de son chef et de ses œuvres. C’est bel et bien par LUI qu’il a d’abord été mis en place, installé et conforté. Macron est le fils putatif et successeur désigné de Hollande, que cela soit bien clair, pour ceux qui en douteraient encore.

La valeur n’attend point le nombre des années, sans aucun doute, mais il ne s’agit pas ici d’un honneur à défendre : Sauver la France était l’ambition (méprisée) de M. Sarkozy qui n’avait plus rien à prouver. C’est aussi celle (reconnue) de M. Fillon qui aurait pu tout aussi bien se retirer du jeu sans proposer une véritable alternative

Ce n’est pas celle de M. Macron qui voudrait sur le trône édifier SON avenir. Et pour lui, c’est juste une PLACE À PRENDRE. Avant quarante ans.

Soyons sérieux, il est temps. La France mérite nettement mieux. Et Elle le sait.